Photos: Équateur

Je vous montrais la semaine dernière une photo de la magnifique cathédrale de l’immaculée conception dans la ville de Cuenca en Équateur. Laissez-moi continuer la visite de la ville en vous montrant une rue typique de cette ville coloniale.

Vous pouvez remarquer quelques décorations de Noël, puisque cette photo fût prise au mois de décembre 2006. Mais jetez surtout un coup d’oeil aux édifices et à leur architecture coloniale espagnole qui est très bien conservée dans cette grande ville située au beau milieu des Andes.

Lors de mon voyage en Équateur en décembre 2006, je suis allé à Cuenca, une ville coloniale située dans la cordillère des Andes équatoriennes, à environ 2500 mètres d’altitude dans la province de l’Azuay.

Cuenca, la troisième plus grande ville de l’Équateur, possède une des cathédrales les plus imposantes de toute l’Amérique. Cette cathédrale se nomme, en espagnol, la Catedral de la Inmaculada Concepción (Cathédrale de l’immaculée Conception).

J’avoue que sur cette photo, on ne peut pas la distinguer dans toute sa grandeur, mais on peut tout de même remarquer sa formidable architecture et ses clochés. L’angle de la photo est aussi intéressant!

J’ai pris cette photo en Équateur, à environ 30 minutes de Bahía de Caraquez, plus exactement à la Isla Corazón (l’île du coeur!). Cette île est située dans l’estuaire du Río Chone (la Rivière Chone), et on la nomme l’île du coeur car la forme de l’île ressemble étrangement à un coeur! Il faut la visiter à marée haute!

Surpeuplée de mangroves, l’île a un rôle de purificateur. La formation de mangroves a créé des sentiers écotouristiques (d’ailleurs l’ecoturísmo est très répendu dans la région!) où il est possible de naviguer dans un petit canoë afin de découvrir les espèces de mangroves et d’oiseaux. Il y a quatre sorte d’arbres de mangles, soit des blancs, des rouges, des noirs et des gris, chacun résistant à certains éléments.

Voici une brève description (de wikipédia) des sortes de mangroves qui se trouvent sur l’ile:

• le palétuvier rouge, le moins résistant à la salinité, se développe en bord de mer.
• le palétuvier noir se développe juste en arrière suivi des palétuviers blanc.
• vient ensuite l’étang bois-sec dépourvu de végétation en raison de la trop grande salinité de son sol.
• enfin se développent les palétuviers gris qui ne sont pas adaptés à l’immersion mais qui supportent une salinité très élevée.

Outre les arbres de mangles, venons-en au sujet principal de cette photo. En effet, l’île est surpeuplée de plusieurs types d’oiseaux: frégates, pélicans, ibis blancs, cigüeñuelas (petites cigognes en français), guacos, Martins pêcheurs et plus de 50 autres espèces d’oiseaux.

Sur cette photo, vous avez la chance de voir dans sa splendeur un frégate femelle (fragata en espagnol). Ces oiseaux étaient dans leur période de reproduction au moment où on passait par là, soit au début août. À ce moment là, les frégates mâles gonflent leur grosse gorge rouge pour attirer les femelles.

Bon, c’est pas mal d’explications!

Lors de mon dernier voyage en Équateur, alors que j’étais de passage à Baños, une petite ville perchée dans les Andes équatoriennes, j’ai été visiter l’église de l’endroit qui est fameuse partout dans le pays à cause des miracles qui y sont associés.

Il s’agit simplement ici de la décoration du plafond turquoise de l’église, avec les angles des arches, les couleurs des tuiles et la dynamique des formes en général.

Toujours dans la lignée des couchers de soleil, en voici un datant de mon dernier voyage et que j’ai pris au début du mois d’août 2007 alors que j’étais à Canoa en Équateur.

Après avoir passer deux semaines sur la côte équatorienne, principalement à Montañita, nous avons enfin eu la chance d’apercevoir le soleil! J’ai donc sauté sur l’occasion et pris plusieurs clichés sur le bord de l’océan Pacifique à Canoa, au nord de Bahía de Caraquez. Du même moment, pendant que je prenais la photo, un enfant courait sur la plage, et je crois que ça ajoute un quelque chose à l’image!

Quito est une merveilleuse ville située à plus de 3000 mètres d’altitude. On y dit qu’en une journée, on peut y vivre 4 saisons! Voici une spectaculaire vue de la ville de Quito, capitale de l’Équateur, à partir du sommet des montagnes.

Il est possible de se rendre à cet endroit avec le téléphérique de Quito, pour une dizaine de dollars. Ça en vaut la peine! Il est aussi possible de faire des randonnées, mais attention! À cette altitude, un bon chandail est nécessaire, et aussi une bonne capacité de respirer, car on s’essouffle vite!